Rue Saint-Martin, Conservatoire National des Arts et Métiers. Rue Saint-Martin, église Saint-Nicolas des Champs. Rue Réaumur, rue Turbigot. Rue Réaumur, rue Turbigot. Rue Réaumur, rue de Turbigo. Marché du Temple, rue Eugène Spuller, rue Perrée Place de la République. Rue Roger Verlomme. Impasse Saint-Claude, rue Saint-Claude. Rue de Bearn, rue Saint-Gilles Rue de Thorigny. Rue Vieille du Temple, rue Debelleyme, rue de Poitou. Rue de Bretagne, rue Froissart, rue de Turenne. Rue Vieille du Temple, rue du Perche, rue des Coutures Saint-Gervais. Rue des archives, rue Pastourelles Rue des Archives, rue Pastourelle, place Patrice Chereau. Rue des Francs Bourgeois, Archives Nationales, Hôtel de Soubise Carreau du Temple, rue de Picardie, rue Caffarelli, rue Perré. Carreau du Temple, rue de Picardie, rue Caffarelli, rue Perré. Rue de la Corderie, rue Dupetit-Thouars Rue des Gravilliers, rue des Vertus, effondrement. Hôtel Liberal Bruant, place de Thorigny, rue de la perle Rue Vieille du Temple, rue des Francs Bourgeois. Musée Carnavalet, rue des Francs Bourgeois. Musée de la chasse, rue des Quatre Fils, rue des Archives. Square Léopold Achille, rue Payenne, rue du parc Royal. Rue du parc Royal, rue Elzévir, place de Thorigny.
Paris III
Comme tous les arrondissements centraux de Paris l’histoire imprègne et structure le quartier. Situé à l’est de l’actuel boulevard de Sébastopol c’est autour de l’abbaye Saint Martin des Champs et l’enclos du Temple que s’agglomère l’arrondissement. Avec le IVème ils forment Le Marais en référence à la zone marécageuse dans laquelle les troupeaux venaient en pâture avant qu’un réseau d’écoulement ne permette une mise en culture. Puis la construction dans la seconde moitié du XIVème siècle de l’hôtel Saint Pol et de l’hôtel des Tournelles comme résidence royale et la disponibilité de terrains constructibles attirent les nobles qui font du Marais leur lieu de résidence privilégié. Les Archives Nationales, le musée Carnavalet ou le musée Picasso y sont aujourd’hui installés. La Révolution Française fait fuir définitivement les propriétaires fortunés et une population d’artisans et d’ouvriers vient occuper les anciens hôtels et les cours intérieures par de petits ateliers. Arrondissement populaire il accueille également des communautés auvergnates, juives et chinoises (arrivée durant la première guerre mondiale pour cette dernière). En 1861 près de 100 000 habitants occcupaient ses 117 hectares, contre à peine 35 000 aujourd’hui.